30 Décembre 2019
Les nouvelles technologies arrivent à grands pas dans notre petit ping-pong.
Lors de la dernière Coupe du Monde les arbitres et les joueurs ont eu ainsi accès et recours à la vidéo-assistance pour évaluer si le lancer de balle au service était réglementaire, ou si la balle avait touché (ou non!) le coin de table.
On peut s'en réjouir. Pour pouvoir ensuite s'abreuver de statistiques plus ou moins utiles, et pertinentes. L'analyse d'images serait un vrai plus en terme de fun, avec slow-motion, décortication des trajectoires, des vitesses de rotation, du placement des balles, de l'évolution des choix tactiques au cours du match, des inclinaisons de raquettes, des déplacements des joueurs, de leur jeu de jambes, de leur temps de réactivité (ainsi que de celui de l'arbitre), des mobilisations de masses musculaires,...les possibilités ne sont pas infinies, mais multiples! Mais nécessitent un peu de moyens, matériels et humains. Et de légères compétences informatiques.
Ou on peut aussi hurler à la mort, et à l'hérésie, nu, sur la lande, avec les autres loups-garous conservateurs. Il est vrai que son utilisation pour l'arbitrage pourrait rompre la fluidité du jeu, pour une efficacité peut-être parfois discutable, et ce recours à l'arbitrage vidéo pourrait être utilisé à bon escient par certains comme un nouveau temps mort, ou un autre moyen de déstabiliser l'adversaire.
En Hérain on a testé toutes ces nouvelles technologies.
Et on peut te dire que le logiciel d'analyses d'images est un sacré petit con !
Ci-joint les premiers résultats: